Bonjour,
Je recherche des témoignages de personnes qui sont entrain de vivre le challenge J’arrête de râler.
Je souhaite notamment des témoignages d’hommes et des témoignages de personnes au bureau.
Pourquoi avez-vous choisis de faire le challenge ?
Qu’est ce que vous avez appris?
Qu’est ce qui a change?
Recommanderiez vous ce challenge a des amis, pourquoi ?
Merci de répondre dans les commentaires si cela vous intéresse ! votre témoignage sera publie et dans toutes les librairies de France dans quelques mois (début de votre célébrité !!!). Il peux bien évidemment rester anonyme.
Bonjour Christine,
Je voulais repondre a ton appel de temoignages d’homme qui sont en train de vivre le challenge ‘j’arrete de raler’. Et oui je suis l’un d’entre-eux.
J’ai recemment decide de faire le challenge car je suis totalement en accord avec le mot d’ordre que raler nuit gravement a la sante de soi et des autres. Ma femme est abonnee au blog et ma fait parvenir un lien avec cette idee que je trouve asser geniale.
Je ne rale pas enorment, mais a y reflechir quotidiennement tout de meme – tout en sachant que raler ne resoud absolument rien.
Alors en recevant le lien au blog, j’ai immediatement adhere au principe et decider de m’y mettre.
Au debut j’ai tenu une journee, puis deux, puis trois… et chaque jour un jour supplementaire. J’y etais presque lorsque tres recement j’en parlai a un ami et nous avons decide de le faire ensemble. Jesuis donc reparti pour 21 jours! Avec une belle finale pour le 31.
Bravo Christine pour cette merveilleuse idee, je partegarai quelques succes/echecs et reflexions prochainement, mais je dois dire et je temoigne, que la vie est bien plus savoureuse lorque l’on y met pas d’arriere gout! Alors allez-y essayer et partageons.
Manu
BRAVO Manu,
Je suis bien contente que cela te parle.
Chapeau bas pour avoir accepter de recommencer a zéro pour faire le challenge avec ton ami.
Je vous souhaite de réussir et de célébrer ensemble le 31 !
Et si par hasard vous vous surprenez a râler… et bien recommencez a zéro. Le bonheur est tout a long du chemin pas juste a la fin !
Je suis avide de vos témoignages, ne pas raler au bureau, ne pas raler en famille, ne pas raler en couple… qu’est-ce que cela veux dire, cela prend quelles formes ?…..
alors revenez vite !
c’est comme l’air qu’on respire on le sait pas mais il est vital,le challenge c’es l’air il change la vie même si l’on s’en apercoit pas
merçi
J’essaie depuis quelques jours, mais contrairement à ce que l’on croit, ce n’est vraiment pas évident ! Du coup, je recommence à chaque fois de zéro… Même qu’aujourd’hui j’ai dit une toute petite râlerie de rien du tout, alors fichu pour fichu, j’ai râlé comme pas permis pendant 5 bonnes minutes pour me venger… Après tout, tout ce qui est dit est dit non ?! Allez, je m’accroche et je recommence. N’empêche, c’est un challenge original et tout le monde devrait prendre la peine d’essayer, même rien qu’une journée… eh bien bonne chance ! 🙂
Bravo à vous pour cette idée et bonne continuation !
Bon courage Charlotte.
Quand tu te surprend a râler et que tu ressens le besoin d’aller jusqu’au bout pendant 5 minutes, essai au moins de passer du mode » Tu » ( tu ne fais pas ci, tu ne fais pas ça…) en mode » Je » ( je me sens seule, je me sens débordée, je ne me sens pas soutenue….)
Bonjour Christine !
Avant tout une très bonne année ! je peux t’apporter mon témoignage si tu le souhaites, dis moi juste ce que tu veux savoir…
Merci Christine !
Je cherche des temoignagnes de personnes qui sont dans une demarche d’arreter de raler.
Pourquoi as tu décidé de te lancer ?
Qu’elles les fruits de ta demarche ?
Les grandes leçons apprises ?
Pourquoi voudrais tu recommander ce challenge a d’autre ?
Alors, ce qui m’a décidé d’arrêter de râler c’est tout d’abord l’ambiance à la maison qui était devenue très électrique voire ingérable. Avec trois enfants dont un tout petit et un pré ado, j’avais du mal à gérer les périodes de crises et je me suis rendue compte que mon comportement n’arrangeait pas les choses, que même si tout ne dépendait pas de moi, les membres de la familles interagissaient et que lorsque l’un râlait cela « contaminait » les autres.
Concernant le bureau (repaire de râleurs en tout genre), j’ai réussi à « neutraliser » une collègue très pénible par une simple petite chose : j’avais l’habitude de la saluer tous les matins en lui disant « Bonjour X, comment ça va » ce à quoi elle me répondait en se lamentant sur sa vie, son mari, sa fatigue, ses états d’âmes… Je me suis souvenue d’une phrase du film « Le Bal des Casse-pieds » qui dit en substance qu’il ne faut jamais, mais alors jamais demander à un casse-pied comment il va ;-D ! Maintenant je la salue en lui disant simplement « Bonjour X ! » et elle ne déverse plus son mal être sur moi tous les matins !
Les grandes choses que j’ai apprises sont que mon comportement influence celui de mes interlocuteurs, que râler ne fait jamais avancer les choses (au contraire), que nous avons beaucoup de choses à apprendre sur la communication non violente pour résoudre les problèmes.
Je recommande à tout le monde de se mettre à ce challenge car à tous les stades on apprend sur nous même, sur les autres, car on se sent bien mieux lorsque l’on vit ensemble dans une bonne entente et lorsque les choses désagréables sont dites sans blesser ou culpabiliser l’autre.
Voilà !
Bonne journée
Bonjour,
j’ai décidé d’arrêter de râler le premier janvier 2011.
Je connaissais le challenge depuis le début et avais très envie de le faire, mais je ne m’en sentais pas capable. Il m’a fallut six mois pour réussir à lâcher prise et à y croire.
Mes freins étaient les suivants: ça va être trop difficile, je ne vais pas me rendre compte que je râle, car c’est trop ancré dans mon quotidien, mais également: je ne suis pas prête à vivre les grands changements qui vont en découler, comme un éloignement de ma culture familiale d’origine, ou de certaines relations basées sur les râleries.
J’ai finalement décidé que je voulais vivre une vie heureuse et que m’éloigner des relations négatives serait certainement bénéfique. Sans rejeter ceux qui râlent, je prends conscience chaque jour, que j’ai choisi de ne pas abonder à cette source que je ressens comme toxique.
Je peux écouter quelqu’un qui râle, mais par rapport à avant, je pose ma limite, en douceur, quand je sens que sa râlerie me contamine. J’apprends donc à me respecter. Et j’en dégage une meilleure estime de moi.
Je n’en suis qu’au début de la reprogrammation, mais le fait d’avoir su choisir le bon moment pour me lancer m’apporte une certaine confiance et conforte mon choix:
Je veux vivre heureuse et entourée par de gens positifs, ou plutôt, entourée par le côté positif des gens.
Marie-Laure
Bonjour à tous,
Juste un petit mot pour vous envoyer le courage, que je ne pense pas encore avoir pour moi.
J’ai pris connaissance de cette initiative à la lecture du Magazine Psychologie il y a quelques mois.
Je n’ai pas encore entamé la démarche, mais je me réjouis de savoir que plusieurs personnes en ce moment l’on fait.
Et même si je n’ai pas encore mis mon bracelet, je ne peux pas m’empêcher depuis la lecture de l’article, d’être attirée par le challenge qui colle parfaitement à ma philosophie du moment.
Peut être à bientôt pour vous dire : « Ca y est j’ai mon bracelet »,
Bonne journée à tous et merci à Christine d’avoir partagé son idée et créé un tel élan,
Elsa