Allez, regardons les choses en face.
Jamais nous ne pourrons contrôler les autres comme des marionnettes et nous attendre à ce que nos collègues, nos amis, nos enfants et même les autres chauffeurs sur le périphérique fassent exactement ce que nous voulons.
Nous ne pouvons pas contrôler la météo, la circulation ou les humeurs ou comportements des autres mais par contre nous pouvons TOUJOURS contrôler la manière dont nous voyons la situation, nos pensées et ce que nous en faisons. C’est cette chose même qui fait de nous des humains.
Prenons conscience que la manière dont nous vivons une crise ou un moment délicat de notre vie n’est que la représentation de notre propre réflexion. Rien n’est jamais figé et notre réalité n’est en fait que notre manière de VOIR ce qui se passe. Nous pouvons en arrêtant de râler contribuer à transformer notre interprétation des circonstances de notre vie.
Êtes-vous conscient que votre pire ennemi pourrait être votre meilleur ami ?
Ne pensez-vous pas que votre interprétation des choses a finalement probablement contribué à envenimer votre relation et que finalement tout aurait pu tourner autrement… si seulement ?
Bonjour,
Alors ça c’est fort ! Quasi au mot près, hier en début d’après-midi, j’ai employé ces termes envers ma sœur (face à ses difficultés majeures de relations maritales), « Notre réalité est seulement la représentation que nous en faisons… » ! Incroyable que mes propos coordonnent le même jour avec ton article ! (ceci je le ressens depuis longtemps mais je ne l’avais pas encore employé envers quelqu’un qui en avait « besoin ». Oui, « j’arrête de râler » ces fusionner nos pensées…
(c’est la journée de la gentillesse today)
amusant en effet Tib’
bonjour,
et n’y aurait-il pas plusieurs degrés de « râle »?
celui pour remuer un peu la morosité d’un groupe
celui pour se motiver soit
un « râle » positif en somme. un faux râle. un jeu.
sinon bien sur, remuer bruyamment des faux fuyants gaspille notre énergie et empêche de vivre un présent qui pourrait être doux.
mais qui profite vraiment des moments présents?
sans cesse à envisager l’heure qui suit et comment la « gérer »… (ce qui est la source principale du râle négatif)
courir pour qui, quoi? où?
😉
En fait râler c’est se mettre en victime alors c’est pas vraiment motivant ! Par contre on peux se dire » Bon allez on avance » ou se dire » C’est dur dur en ce moment, demain je vais faire ceci ou cela pour essayer d’améliorer la situation »
Ca y est j’ai ENFIN acheté votre livre et remis mon petit bracelet, première journée impec mais j’ai râlé sur mon fils ce matin; retour à la case départ!
Vous lire chaque jour fait vraiment du bien; merci Christine
Merci Julie
Il me vient une notion en lisant ce post : faculté d adaptation. Et si finalement le raleur n était pas tout simplement une personne qui ne veut pas changer ses habitudes, son rythme…Parce que la vie et ses surprises font peur…Agressé, le raleur se met en route…
Alors oui, mettons nos chances de notre coté en prévoyant les matins stressants, la veille au soir, mais essayons aussi de savoir apprécier les bonheurs imprévus, les pépins de derniéres minutes, apprenons à improviser à nous adapter.
Oui arrêter de râler c’est déjà savoir a l’avance que nous allons avoir des frustrations dans notre journée et décidez que nous ne voulons pas les transformer en drame car en le faisant nous nous punissons nous-mêmes !
je ne sais comment cadrer ce qui suit avec votre action mais elle me rapelle un mot d’un patron de taille : « ce n’est pas ce que vous me dites qui compte pour moi mais bien la façon dont je le perçoit ! »