Notre bonheur ne dépend pas des conditions dans lesquelles nous vivons
Connaissez-vous cette fameuse étude du grand professeur de psychologie de l’université de Harvard, Daniel Todd Gilbert, auteur du best-seller Et si le bonheur vous tombait dessus sur le niveau de bonheur des gagnants du gros lot de la loterie ?
Il est parvenu à démontrer qu’un an après, les gagnants se trouvaient aussi heureux ou malheureux qu’avant le tirage qui avait changé leur vie. Et ce niveau de « bonheur retrouvé » vaut également pour les gens touchés par de grands malheurs, notamment des personnes devenues paraplégiques. Tous finalement, après le choc merveilleux ou catastrophique, se trouvent après quelque temps aussi heureux ou malheureux qu’auparavant. Les circonstances « extérieures », heureuses ou malheureuses, ne font plus effet et ils se retrouvent aussi insatisfaits ou satisfaits de leur quotidien.
La leçon à tirer de cette étude est que notre bonheur ne dépend pas vraiment des conditions dans lesquelles nous vivons. Riches, fauchés, en bonne santé ou malades, avec un emploi ou au chômage… notre bonheur ne dépend pas de nos circonstances. Il dépend au contraire de la façon dont nous choisissons de « vivre » ces circonstances : en étant sereins, optimistes, motivés, déterminés ou – au contraire – accablés, stressés, victimisés…
Notre niveau de bonheur dépend de comment nous choisissons de vivre nos circonstances
Notre niveau de bonheur dépend aussi de ce sur quoi nous choisissons de nous focaliser. « What you focus on expands » (ce sur quoi vous vous focalisez tend à s’amplifier). Nous pouvons donc choisir de laisser nos soucis et nos problèmes tenir toute la place dans notre vie ou bien choisir de prendre le temps de savourer les choses agréables dans notre quotidien. Quelle que soit notre situation, nous pouvons puiser du bonheur, lui donner plus de place et être heureux, ici et maintenant.
Nous pouvons râler tant que nous voulons, nous pouvons soupirer, ruminer, crier… cela ne servira pas à grand chose pour améliorer notre condition et nous rendre plus heureux. Pas besoin d’attendre un retournement de situation conséquent car ce bonheur, finalement, vient surtout de la manière dont nous voyons les petites choses du quotidien. Prenons le temps de savourer toutes ces choses qui sous le poids de nos râleries et de nos résistances ont tendance à passer inaperçues : un rayon de soleil, le chant d’un oiseau au réveil, l’amour des personnes qui nous entourent, l’opportunité que nous avons de nous rendre utiles dans notre travail, etc.
Le challenge 21 jours consécutifs sans râler
Le challenge 21 jours sans râler m’a aidé à transformer ma vie et à identifier toutes les petites choses du quotidien qui vont dans le bon sens, qui me donnent du bonheur. Il m’a permis de reconnecter avec le délice de ma vie ordinaire {et pas toujours sexy !}.
Cette vidéo de mon passage à TEDx, où je partage mon expérience personnelle du challenge 21 jours sans râler, a touché beaucoup d’entre vous. Je vous invite à la visionner ou re-visionner.
Et si vous rejoigniez le challenge » J’arrête de râler « afin de démarrer la rentrée en ancrant une habitude qui vous permettra de voir tout le positif et tous les » possibles » dans votre vie ?
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Quelle que soit notre situation, nous pouvons puiser du bonheur, lui donner plus de place, et être heureux ici et maintenant.
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